La Galerie Le Container, réprésentée par Déborah et Clément, est une galerie d’art spécialisée en art urbain et en art contemporain.
Elle se situe dans le centre historique d’Aix-en-Provence, ville aux mille fontaines possédant un patrimoine d’exception et une richesse culturelle dense.
La Galerie Le Container a l’honneur de vous présenter deux artistes d’exception: Daniel Castan et Marie Deforche.
DANIEL CASTAN Né en 1959 en Dordogne, Daniel Castan dessine depuis son tout jeune âge. Diplômé des Beaux-Arts de Bordeaux, il travaille en tant que graphistedesigner, crée sa société et exécute des travaux pour l'Unicef, Pierre Balmain, l'Onu, Zippo, Polyflamme... Puis à 40 ans, il reprend le pinceau pour le plaisir et rien que pour le plaisir. À 48 ans, il lâche tout pour vivre son rêve... Dans une première vie professionnelle, l'artiste Daniel Castan a beaucoup voyagé à New York et à Hong Kong. Il en garde une fascination pour les univers urbains et leurs perspectives démesurées. Dans ses toiles, il essaie de recréer ces ambiances très graphiques. Les lignes des immeubles se perdent dans le ciel, les larges avenues semblent sans fin, les couleurs s'entrechoquent. L'artiste travaille d'après ses souvenirs, son imagination. Daniel Castan a choisi de peindre avec une huile alkyde. Celle-ci se travaille comme l'huile classique, mais son liant est une résine qui permet un séchage accéléré. Le couteau, quant à lui, est l'outil de prédilection de l'artiste. Il lui permet de travailler à la fois en pâte, en large touche, et de dessiner dans la matière.
MARIE DEFORCHE Marie est née, a grandi et vit en Provence. La méditerranée et le soleil ont toujours fait partie d’elle. C’est peut-être parce qu’ils étaient trop présents dans son quotidien qu’elle ne les a pas vu tout de suite comme source d’inspiration principale.
Elle a longtemps cherché son style, attendant ce moment où une toile devient une part de soi. Tout bascule un hiver, en feuilletant un catalogue de Slim Aarons. Plus que le glamour, elle y voit la lumière, les ombres et la chaleur de l’été qui lui manque tant.
Elle commence alors à peindre son propre été : un instant suspendu sous le soleil de Provence, bercé par les vagues et les cigales. Ses toiles, aux couleurs chaudes et ombrées, capturent une femme de dos, préservant son intimité. Véritables fenêtres lumineuses, elles invitent à l’évasion, même en hiver.